Comme un Poisson du 1er Avril ?

Et bien oui, c'est faux. Nous avons souhaité contribuer à cette tradition.  Non pas avec un texte emprunt de sornettes ridiculement masquées d'un voile d'humour. Mais plutôt avec une agréable histoire se voulant détachée du bruit et de la fureur du temps présent, comme offrant du rêve aux enfants sur les mystères et le secret des choses. Nous aurions pu radoter un conte ennuyeux comme un long dimanche de pluie qui n'en finit pas et que l'on se raconte au bistrot les jours de marché. Nous avons préféré vous raconter ce que nous aurions vraiment souhaité de merveilleux et d'extraordinaire pour notre commune... Si cela pouvait être vrai, un jour.
Le propriétaire d'un Bâtiment en centre bourg effectuant des travaux de construction et d'aménagement a mis à jour lors de l'affaissement d'un plancher, un petit escalier débouchant dans une voûte en assez bon état. 
 
Le propriétaire et le chef de travaux ont emprunté le boyau. Après plusieurs centaines de mètres, ils ont découvert un petit muret. Après l'avoir cassé, ils sont tombés devant un panneau de bois. En l'ayant poussé avec efforts, il a coulissé ouvrant un passage direct dans le confessionnal de l'église Saint Jacques.

La Préfecture de Région, la Direction des Monuments Historiques, les Services de la DRAC (Direction Régionale à l'Action Culturelle) et l'Evêché ont été immédiatement prévenus et auraient exigé une totale discrétion.
 
Selon les dires d'un Chargé de Mission auprès de l'Architecte des Monuments Historiques descendu de Paris, la demeure aurait jadis appartenu à un haut dignitaire de l'Ordre du Temple que l'on pense aussi avoir été trésorier des Illuminatis.
 
Ce souterrain aurait sans doute été construit afin de lui permettre de s'échapper avec l'argent et les documents de la Confrérie. Un coffre de bois scellé a été retrouvé dans un recoin de la galerie à proximité d'un squelette que les Experts de la Section Technique et Scientifique de la Gendarmerie sont chargés d'identifier. On pense qu'il s'agirait du haut dignitaire.
 
Le propriétaire a dû stopper les travaux en surface pour permettre aux autorités de creuser et poursuivre les fouilles.
Il est impossible de garder plus longtemps le silence. Le Préfet après son accord s'est entretenu ce matin très tôt au téléphone avec Monsieur le Maire pour aviser de la suite ; la Préfecture s'inquiétant fortement que Castelnau de Médoc devienne un nouveau Rennes le Château en attirant sur le site une foule de monde venant de toute la France.
 
Quelle extraordinaire et merveilleuse découverte pour notre commune !

Le coffre en bois en attente de son ouverture (photo DGGN) Un des parchemins découvert (photo DGGN)